Un accident de la vie, ça n’arrive pas qu’aux autres. Pour gérer les conséquences d’une incapacité temporaire de travail ou une incapacité permanente partielle, mieux vaut prendre ses précautions et prendre une bonne assurance.
Une maladie, un accident, une intervention…, cela arrive. L’incapacité de travail se définit par l’impossibilité physique ou psychique d’exercer une activité professionnelle. Si cette impossibilité est temporaire, on l’appelle incapacité de travail totale ou partielle.
Si vous avez un accident et que vous ne pouvez plus travailler, l’assurance maladie de la Sécurité Sociale vous verse des prestations financières : c’est la garantie incapacité de travail.
Ses prestations versées annuellement compensent la perte de salaire due à l’invalidité. Elles sont calculées à partir d’un salaire journalier de base et d’un taux d’incapacité permanente.
Il existe également une participation obligatoire de l’employeur si le salarié a plus d’un an de présence dans l’entreprise à hauteur de 90% pour les 30 premiers jours puis de 66,66% du salaire par la suite.
Votre mutuelle ou votre société d’assurances peut également vous verser des prestations complémentaires si vous avez souscrit à un contrat de prévoyance individuel ou collectif. En cas d’arrêts de travail, une indemnité est perçue. Elle ne doit pas bien sûr être supérieure au salaire perçu au moment de l’arrêt.
Pour continuer à garder le même train de vie même lors d’une incapacité de travail, il faut choisir la bonne assurance. C’est la meilleure garantie pour garder de bons revenus en cas d’incapacité de travail. De plus, ces prestations sont exonérées d’impôts.
Lorsque que vous souscrivez, vous devrez définir :
En fonction de ces choix, vos cotisations seront plus ou moins élevées.